L'association Les Rigollots s'est formée officiellement cette semaine, après trois explosions et incendie d'origine électrique avec fuite de gaz au 24 rue André Laurent, sur une parcelle en limites séparatives du square aux Chats, aire de jeux pour les petits Fontenaysiens.
Cette petite maison va être murée et l'immeuble en face par un pavillon haut de 10m5O... l'immeuble d'en face perdant tout le soleil et étant aussi muré... plus de jardin, un mur pour seule vue au lieu de la nature...
Merci monsieur le Maire !
Il faut dire qu'au 24 rue André Laurent à Fontenay, le chantier en cours (oui de nouveau un chantier après la construction de l'immeuble de 14,5 mètres jouxtant le Square aux Chats). Il avait déjà mobilisé à l'époque un collectif d'habitants du quartier face à un promoteur et constructeur particulièrement peu scrupuleux des règles de l'art concernant les travaux. Par ailleurs, la mairie, plus particulièrement la direction de l'urbanisme, est depuis le 2011 plus que conciliante avec le promoteur, qui par ailleurs est un homme bien placé chez le premier constructeur français Nexity...
Plus d'infos sur ce chantier problématique du 24, rue André Laurent
Le square au chat muré, le quartier bloqué - fontenay-sous-bois.fr
Sauvons le Square aux Chats à Fontenay-sous-Bois
Mais qui est le promoteur de l'immeuble qui va murer le Square aux Chats ?
Les appartements de l'immeuble du 24 rue André Laurent ne sont pas des logements sociaux...
1re lettre a Monsieur Jean-François Voguet, Maire de Fontenay-sous-Bois,
La Ville de Fontenay-sous-Bois se moque-t-elle de la sécurité de nos enfants ?
Comment peut-on négliger autant les questions de sécurité notamment au niveau de ce chantier.
Mais aussi souvenez-vous à l'automne, le square aux Chats a dû être évacué. Des enfants ont pu entrer et jouer dans ce square, qui après coup, une fois de plus, tard, très tard, a été fermé par arrêté municipal.
Les petits risquaient de se blesser au contact des engins de chantier...
Quelques mois auparavant, le chantier 24, rue André Laurent, où l'immeuble de 15 m se construisait, n'était pas sécurisé correctement. Des voisines devant faire descendre un samedi après-midi un enfant du haut d'une grue de 18 mètres de hauteur, une autre fois des mineurs jouaient en toute insécurité avec une hache de chantier, qui ... traînait... Les habitants ne comptent plus combien de fois, ils ont dû faire intervenir les équipes de la police nationale... étant donné que la police municipale, et son effectif léger 5, 6 policiers municipaux pour 54 000 habitants, n'était pas toujours disponible.
Ce chantier du 24 rue André Laurent, dont les propriétaires, un grand patron de Nexity et son neuveu, qui font des opérations financières pour revendre beaucoup plus cher le m2, en ayant en 2010 une dérogation au coefficient d'occupation des sols (COS) par la mairie, pour des logements sociaux, vont avec leur projet briser le cadre de vie de beaucoup d'habitants de la rue André Laurent, sans parler des habitants du 26 et du 22, murés par un mur de 11 mètres, qui voient dévaluer leur petit patrimoine.
Combien de temps encore, la mairie de Fontenay-sous-Bois peut-elle fermer les yeux sur de telles pratiques ?
Combien de temps encore, faudra-t-il encore au maire pour prendre de vraies actions concrètes, pour tenter une conciliation avec ce promoteur sans scrupule ?
Combien de temps, les habitants des Rigollots vont-ils devoir subir ces nombreux préjudices du fait d'une gestion et d'une gouvernance pour le moins tiède ?
Combien de temps accepter de vivre avec une voirie si mal entretenue ? Combien de temps souffrir de plusieurs problèmes liés à l'insécurité.
Combien de temps encore les Fontenaysiens devront subir des coupures d'électricité, des installations de gaz trop anciennes qui peuvent mettre en danger la vie d'autrui ?
Le maire de Fontenay devrait se positionner, réagir car une colère sourde semble s'accentuer chaque jour un peu plus !
Ces constructions du 24 rue André Laurent vont à l'encontre des engagements du maire et de son équipe lors de sa campagne aux dernières municipales.
Le maire clamait qu'il voulait "protéger les quartiers de la spéculation foncière en contenant le droit de construire. "
(l'engagement n°2)
Le montage de la grue en 2011 sur le premier chantier, qui dans un premier temps n'avait pas été soumise à contrôle sécurité pourtant obligatoire... Le contrôle ayant été fait a postériori. Quelle sécurité ? Le chantier à l'époque avait finalement été stoppé... après coup sur maintes plaintes des habitants !
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